En un coup d'œil
La procrastination implique une opposition entre le système limbique et le cortex préfrontal, révélant un mécanisme de régulation émotionnelle plutôt qu'un défaut d'organisation.
Le cortex cingulaire antérieur joue un rôle déterminant dans la décision de procrastiner, ayant permis aux scientifiques de prédire cette tendance avec un algorithme.
Environ 20% des adultes seraient des procrastinateurs chroniques, cette proportion a quintuplé entre 1978 et 2002 avec l'essor des distractions numériques.

